Les négociations de lundi et mardi entre le syndicat des employés de soutien de l’Université Laval et la direction de l’établissement n’ont rien donné.

Les représentants syndicaux affirment avoir fait des propositions intéressantes, de même que des concessions importantes, et que c’est maintenant à l’employeur de faire sa part. Les points au cœur du conflit touchent surtout la mobilité de la main-d’œuvre et le financement du régime de retraite.

Sans contrat de travail depuis le 1er avril, les 1900 syndiqués avaient voté en faveur de la grève en décembre. Les moyens de pression pourraient augmenter à la suite de l’échec des derniers jours. Un débrayage complet est envisagé.

Si les employés de soutien entrent en grève, un impact important sur plusieurs cours et activités de laboratoire pourrait être ressenti.